"C'était violent, c'était terrible": le "mardi sanglant" de Lagos
Des fêtes et rassemblements des derniers jours, il ne reste que des bris de verre et des graffitis pour dénoncer les violences policières et réclamer une « meilleure gouvernance » au Nigeria. Mercredi, au lendemain de la tuerie du péage de Lekki, à Lagos, il ne restait que des fantômes.
Une vingtaine de soldats et de policiers ont récupéré le contrôle des lieux.
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