#MeToo en Chine : face à une censure hyper réactive, les féministes condamnées à l’anonymat




Sur les réseaux sociaux chinois, il est désormais impossible d’évoquer Peng Shuai, la joueuse de tennis qui a accusé l’ex-vice-premier ministre Zhang Gaoli de viol, sous peine d’être immédiatement censuré. En l’absence d’espaces pour lui montrer leur soutien, les voix des féministes chinoises sont quasi inaudibles. Un climat de censure et de peur avec lequel doivent composer les militantes de #MeToo en Chine, raconte notre Observatrice « Krystal », une figure du mouvement.



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