Après le divorce entre Coca-Cola et Castel, qui va garder les bouteilles ? – Jeune Afrique


Il y a 27 ans, en 1995, le monde de la boisson sans alcool célébrait une union fructueuse. The Coca Cola Company (TCCC) et le groupe français dirigé par Pierre Castel alliaient leurs forces pour inonder le marché africain des boissons sucrées sous l’étiquette du géant nord-américain. En embouteillant le Coca-Cola, le Sprite, le Fanta et autres Schweppes sur ses propres lignes de production, Castel accédait à une rentabilité nouvelle, renforçant du même coup son rôle central sur le marché en pleine croissance de la boisson sans alcool, en parallèle de ses activités brassicoles.


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En s’associant au groupe français, implanté sur le continent depuis les années 1960, Coca-Cola s’assurait alors un relais logistique et un réseau de distribution à la mesure de ses volumes de vente, appelés à croître au gré de ses investissements massifs en Afrique de l’Ouest. Le divorce, désormais consommé, était cependant quasiment écrit d’avance

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